Les cycles solaires semblent être rythmés par une horloge interne assez précise, persistant même durant les périodes de grands minima. Ces cycles modulés en intensité et bien cadencés, sont connus sur de très longues échelles de temps, dont les crues du Nil par exemple ne sont qu'une facette. Que nous apprennent-ils ? Ont-ils une répercussion sur la forme externe de l'astre ? Si oui, un observateur très lointain verrait-il notre Soleil comme une étoile pulsante ? Quelles sont alors les conséquences ? Peut-on mettre en évidence des aspects gravitationnels ? Une réponse positive à cette question emmènera l'auditeur attentif vers l'astrophysique actuelle, celle qui découle directement des théories relativistes
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